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      vendredi 20 fév 2009

      Commentaires

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      maryse hache

      qu'est-ce ce bout de l'aller jusque
      "même pour ne pas vaincre"
      peut-être l'insister de celan que rappelle michèle dujardin dans abadôn.fr du jour sous la rubrique cinema

      Nous n’avons pas à résister.

      Insister seulement.

      Creuser le noir.

      Paul Celan.

      Florence Trocmé

      Aller jusqu'au bout, il me semble que c'est aussi ce que dit Dominique Fourcade. Cf. ces notes prises lors du très beau séminaire donné au Petit Palais de Paris, il y a trois jours (organisation La Maison des Ecrivains et Jean Michel Maulpoix, "la poésie, pour quoi faire ?") :

      •Vers. Le vers, unité de souffle : « il faut qu’un vers aille au bout de lui-même ». Le vers est une mise en jeu à travers une dictée de longueurs, de temps, dizaines et dizaines de ruptures de phases du temps. Un vers est une phase de temps : le bout c’est le moment où il doit s’interrompre avec justesse. Un vers peut aller d’un mot à trente lignes. Travailler le moment où c’est le bon moment, être dans la justesse. « Faire des vers, c’est mettre en jeu à la fois un savoir, un instinct et une aventure qui consiste à déterminer, avec grâce et au fleuret électrique, où ça doit s’arrêter » Sans rupture car mélodie et rythme doivent être continus et de préférence sur tout le livre. Instinct, travail, expérience et la grâce qui souvent fait défaut.

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