quoi

  

 

oui semenoir

_mot à rêverie
_mot à tiroirs

_promenade " tout lieu retiré requiert un promenoir"_à la montaigne
_sens, bon et sensible
_presque semaison et clin à jacottet
_presque fenêtre à meneaux_et clin à la pléiade et à rabelais et à mme de clèves et aux riches heures du duc_ et à celles de rouaud
_le grand menoir sans bout du nez quoique
_petit presque manoir
_le temps de semaine
_et le petit meuble à tiroirs ou le bracelet à anneaux
_presque semoir, « La méthode la plus sûre pour recueillir un peu plus de grain qu'à l'ordinaire est de se servir de semoir.... le semoir ne convient ni à toutes sortes de terrains, ni à tous les laboureurs"  Voltaire_  et voilà les outils oubliés qui s’invitent et_presque le geste auguste du
_et presque la moire, apprêt que reçoivent, à la calandre ou au cylindre, par l'écrasement de leur grain, certaines étoffes de soie, de laine, de coton ou de lin, et qui leur communique un éclat changeant, une apparence ondée et chatoyante.

_ah s'imaginer "ondée et chatoyante" par écrasement_oui quand j'aurai l'impression que certaines choses de la vie m'écrasent un peu et bien j'en appellerai à cette "moire" et c'est le chatoiement et l'ondoiement  qui s'assiéra sur mes genoux

_et flaubert, pour la métonymie : aspect de l'étoffe qui a reçu le dit apprêt : "La moire des étoffes était, comme la splendeur de sa peau, quelque chose de spécial et n'appartenant qu'à elle" voilà ce qu'il écrit dans salammbô
_et voilà l'entrée du linge_ah le linge
_et presque les moires et voilà les trois soeurs clothô, lachesis et atropos, qu'hésiode nous présente comme filles de nuit_ah le noir_ et soeurs des hespérides-ces jardinières_ah le jardin_ de l'extrème-orient, et comme soeurs des heures, qui à chacun, donc à moi,  dispense sa part de bonheur et de malheur
_et voilà l'entrée du fil_ l'ai-je perdu
_ces trois-là, mythiques, règlent la durée de nos vies, de ma vie, l'une file, l'autre enroule, la troisième coupe
_et hop nous voilà au fil rss, fil de flux à tirer pour quelle moderne moire

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