dans les bois s'enfoncent
des vies lumineuses
des vies parfumées
loin du désastre de la
famille
de ses odeurs
de ses cris
de ses ombres
sortie de la colle d'armoire
de ses angoisses
et du vrombissement bleu du
néon
dans la clairière
dans le chemin
entre les haies d'églantine
je fus
orsay mercredi 19 septembre 2007
Commentaires
Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.