bonne nuit
sans table d'olivier
sans gauloises bleues
sans mandoline ou balalaïka
sans mediator
sans moulin à café
sans couteau
sans croûtes de pain ni fromage
mâche les pissenlits
regarde
voilà enfin les racines
que le poème
encore un peu
pince
les cordes
vendredi 14 novembre 2008
Commentaires
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