quand j'habitais
la seine et oise
douce et ronde
avec un s qui fait ze
la rampe était
haute
les aubépines chantaient
leur parfum
et les bois marchaient
loin
au gré des saisons
feuilles mortes et églantines
j'habite le
quatre vingt onze
avec un z qui fait ze
la rampe est à
un mètre dix
les aupébines chantent
leur parfum
et le bois marche
plus court coupé
par la cent dix-huit
au gré des saisons
églantines et feuilles mortes
suis passée de
trois
à cinquante-neuf
jeudi 31 mai 2007
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