15 janvier 2011
10 ans de remue.net à la médiathèque marguerite duras, rue de bagnolet, paris 19°
j'y étais
©Laurence Skivée
mais réseau indisponible dans la salle pour moi en tout cas
twitter impossible
écrire en différé alors
quelques éclats
film de phiippe rahmy projeté, lui absent doit rester chez lui
@meidos (son nom sur twitter) en annonce la mise en ligne
aperçois visage connus
peu
petit à petit ça y est
passage de vives écriture lues à vifs corps
via visage bavardage repérage questionnage
ce visage là d'abord ici que je l'ai vu
vous me cherchiez madame fut ma phrase d'introduction
salutations et puis pfft ! le temps fugit
et la casse qui brise les moules à l'usine des Produits Céramiques de Touraine
cécile portier @petiteracine
film de phiippe rahmy projeté
reconnu sébastien rongier
ai commmencé par son visage vu je crois lors une nuit remue.net au centre cerise
allure sourire le moindre geste touche
aussi philippe ménard
reconnu et salué en connaissance
ai participé à ses ateliers d'écriture en ville
et en chemin partagé depuis
présent en ce samedi de médiathèque pour carte blanche et revue d'ici là
il m'a invité à proposer un texte mien pour d'ici là 6
film de phiippe rahmy projeté
cécile portier assise devant moi dans la salle
se retourne
celle assise à ses côtés aussi
juliette mézenc maryse hache dit-elle
un nom que je connais voilà le visage voilà le corps
un peu perdue de vue l'écriture
retournerai aux mots maquis
philippe de jonckheere
le repère
ai vu son visage sa silhouette sa stature au desordre.net
irai le saluer un peu plus tard lors de la pause-pot
entre 19h30 et 20h30
quelqu'un au micro parle d'hippocampe
que me suit sur twitter sous le nom @hippo20
mais pas attrapé le nom au vol
pour plus tard
vue aussi de vif-corps un jour ne sais plus où
presque sûrement au centre cerise
elle avait aux poignets des dentelles
la littérature est tenter assaut contre les frontière
entrée de claude favre
visage et corps reconnus
vue un jour au centre cerise
échange amitié twitter mail et vase depuis
ici est la rose s'il ne fallait que champ de coquelicots l'air soudain
désir de partager une aventure littéraire une aventure de différence
dominique dussidour aperçue aussi un jour donc reconnue
mais pas trouvé l'entrée pour la saluer
une fois prochaine
le corps est l’acteur de ce théâtre
elle lira deux extraits de philippe rahmy :
un cueilli dans Mouvement par la fin, cheyne éditeur
que j'avais lu en son temps et m'en souviens mieux que le titre de l'autre extrait
celui-là a disparu dans les lamelles de la mémoire
Il me reste un peu d'ombre pour m'abriter de la mort. Le soleil se lève derrière les arbres
elle dit l'absence de jean-marie barnaud
et dans ces deux absences j'entends
Le silence comme rencontre, le lire
même si ... mon blablaba
elle dit aussi l'absence de patrick chatelier présent ici
et on entend parler du feuilleton général instin
et certains soirs d'été soyez patients pour l'entendre chanter
guenaël boutouillet, assis côté jardin, mène le théâtre de paroles en table ronde :
ce qu'internet change dans votre rapport à l'écriture
les acteurs sont assis sur fauteuils disposé en arc de cercle
et peut-être la table est rectangulaire
puis en suivant la disposition des assis
philippe de jonckheere : désordre.net
thierry beinstiegl : feuilles de route
anne savelli : fenêtres open space
anthony poireaudeau: futiles et graves
ai-je bien retenu ou compris qu'il était à l'initiative du convoi des glossolales
cécile portier : petite racine
dans les décombres de vent et de pluie
pour mourir... fais-moi passer autour du bracelet de ce regard oblique
il y eu pause café thé
où parole et connaissance éclair vont bon train
et vous — bonjour, vous avez un blog, peut-être je le connais et ah j'associerai corps et blog ou site — stéphane gantelet — ah non ne connais pas votre nom — c'est moi qui réalise le site de juliette mézenc—
et de bavarder encore
de retour pour écrire ce texte fais visite chez lui
quelle promenade dans les polygones et autres tétraèdres
quel sculpteur, en maillage virtuel aussi !
et je cueille dans le blogue :
Il est particulièrement jouissif, après avoir passé des années à manipuler du bronze, de parvenir à réaliser de grandes pièces dont le poids final n’excède pas 200 grammes !
il y eut pause café thé
et claude favre me présente laurence skivée plasticienne
bonheur du vif-corps après bonheur d'avoir découvert son travail en son blog et
sur twitter, attirée par le graphisme de l'image dite avatar :
nous nous reparlerons après la pause
en attendant
un geste : lâchons prise dans l'éclat des étoiles
il y eut pause café
et
échange de quelques mots avec — et je l'apprends dans l'instant de la parole — jacques josse
je connaissais son travail d'éditeur: wigman (fin de l'aventure éditoriale en juin 2010)
par l'intermédiaire de florence trocmé poezibao ( il doit bien y avoir des planètes polyèdres)
et sa participation à remuenet
vu fred griot et sa carte blanche
et sa perf-ormance, en trio
quels textes — les retrouverais- je maintenant et à l'heure de l'écriture
tentative : me souviens de : j'ai vu que j'avais repéré sur son site et tant apprécié
me souviens de : je clope dont j'avais fait rebond au semenoir : elle clope
le reste ne trouverai pas ne connais pas le titre
dire j'ai beaucoup aimé
sentiment à la fois de maîtrise et d'improvisation de ce ce travail — mélange qui me plaît particulièrement — texte appris — corps (gestif, gestué, quel mot trouver?), — et pied du micro comme partenaire scénique — les deux autres sont humains en lien improvisatoire avec lui — percussion et basse d'eric groleau, à la table de mixage son : thierry balasse (quel est le terme officiel qui désigne son travail acoustique?)
il y eut plus longue pause avec un apéritif
salué françois bon que je lis depuis longtemps et qui ne manque pas de faire signe faire semenoir, ne lui ai pas dit merci de vif-corps
salué gilda fiermonte, (sous-texte silencieux le nom de son blog : traces et trajets) bien reconnue puisque nous avions je crois partagé un ou deux ateliers d'écriture en ville, à château landon avec pierre ménard, mais confusion de nom, et je l'appelle christine (sous-texte silencieux christine genin)
bavarde bien et agréablement avec laurence skivée, et christine genin s'approche (les mots de ses territoires s'affichent en mémoire : labyrinthe et lignes de fuite)
ah ah la confusion m'apparaît
fais amende, que l'on dit honorable mais ne sais, et rend à césar, et à gilda et christine, ce qui est leur visage respectif
salué cathie barreau
depuis quand je la lis dans le web, ne sais plus
paysages en milieu de vie : Le temps et le lieu réunis dans le grand cadre de la fenêtre du train. Ainsi chaque seconde est la découverte d’un tableau qui se dessine sans cesse et choisissant de regarder ici et là, de réunir un ensemble d’arbres, de bosquets, un chemin, une maison mais très vite une route, un bord d’océan et le ciel immense, on devient le cadreur d’un cinéaste imprévisible.
bavarde un peu avec sébastien rongier et trinquons verre de bordeaux
salue phiippe de jonckheere juste un bonjour
échange quelques mots avec chantal anglade, avec sylvie garcia
avant l'apéritif
avais salué martine sonnet un peu plus tôt dans la salle / elle devait partir avant la fin de la journée / elle partait en voyage
la lis depuis un moment
ne sais rien dire d'autre de son atelier 62, (éd papier aux éd le temps qu'il fait) que : l'ai lu d'une traite dans émotion et respect
l'avais déjà vue et rencontrée lors de la projection du film de jérôme wurtz aux ateliers varan, paris
(j'avais lu le dit jérome dès quinze ans sous un escalier)
il y eut aussi, avant apéritif, et après tentative d'ajustement technique
carte blanche à pierre ménard et la revue d'ici là
lecture à deux voix, et quelles voix, claude favre et pierre ménard
qui consola de la défaillance technique
et voici que le montage images-sons prévu est maintenant en ligne
et
soudain
sébastien rongier mains en porte-voix nous appela à la suite
c'est à dire
françois bon et dominique pifarély : une traversée de buffalo (lecture / performance)
en parlerai dans un autre texte
donc à suivre ...
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