je lis ce matin-là dans (ou sur?) ma time-line twitter :
“@Heather_Horton: I should like to walk in Anais Nin's foosteps in the 1920's in Paris..“We don't see things as they are, we see them as we are.”
pour la visiter, et entrer dans son site
http://www.heatherhortonartwork.blogspot.com/
et cela me conduit à la manière dont nous, notre équipe de travail, avions marché sur les "anaïs nin's footstep"s, guidés par caroline lemignard, sur une proposition de natacha haëgel
et cela avait construit du théâtre :
anaïs pèle une orange,adaptation, par caroline lemignard, du Journal de l'amour, 1932-1939, d'anaïs nin, trad béatrice commengéjeu : natacha haëgel et caroline lemignardunivers musical live : loïs naudmise en scène : caroline lemignardmise en lumières : johan ascensirégisseur plateau : françois gauthier-lafayecollaboration artistique et dessin : maryse hache
j'avais demandé à joëlle hache, monteuse de longs métrages, si elle voulait bien s'en mêler et monter les éléments de captation des représentations dont nous disposions
elle avait dit oui (on n'est pas soeursoeur impunément)
voilà donc ce que d'aucuns appellent un teaser à regarder et écouter
une sorte d'apéritif
je reproduis ici le texte de présentation lisible aussi sur you tube :
[email protected]. Cette adaptation est construite autour de deux événements de la vie d'Anaïs Nin qu'elle a toujours cachés, dont elle n'a jamais parlé ouvertement, et qu'elle confie à son journal, dont le texte non expurgé est publié après sa mort sous le titre le Journal de l'amour, 1932-1939, traduction française de Béatrice Commengé.
Il s'agit de son histoire d'amour avec son père lorsqu'elle avait 30 ans, et son avortement, à six mois de grossesse, d'un enfant d'Henry Miller.
Anaïs Nin en fait une description simple, lucide et crue.
Au texte qui parle de ces deux événements, notre adaptation théâtrale mêle ses réflexions sur l'art, ses histoires d'amour, et sa vision des femmes.
Pleine de contradictions, Anaïs Nin refusait tout compromis et voulait vivre à sa manière c'est à dire que chaque jour qui passe nourrisse son sens de l'émerveillement. Elle tenait sa singularité de son humour, de sa capacité à vivre plusieurs vies, et de sa légèreté à parler de choses graves.
Sa gaieté, son audace, sa folie, sa lucidité sur elle-même et sur le monde alliées à sa frivolité et à sa férocité, font d'Anaïs Nin une femme unique, intemporelle et universelle.
Il s'agit de son histoire d'amour avec son père lorsqu'elle avait 30 ans, et son avortement, à six mois de grossesse, d'un enfant d'Henry Miller.
Anaïs Nin en fait une description simple, lucide et crue.
Au texte qui parle de ces deux événements, notre adaptation théâtrale mêle ses réflexions sur l'art, ses histoires d'amour, et sa vision des femmes.
Pleine de contradictions, Anaïs Nin refusait tout compromis et voulait vivre à sa manière c'est à dire que chaque jour qui passe nourrisse son sens de l'émerveillement. Elle tenait sa singularité de son humour, de sa capacité à vivre plusieurs vies, et de sa légèreté à parler de choses graves.
Sa gaieté, son audace, sa folie, sa lucidité sur elle-même et sur le monde alliées à sa frivolité et à sa férocité, font d'Anaïs Nin une femme unique, intemporelle et universelle.
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