je lis ronald klapka citant dominique fourcade
[11] Conclut le "premier" (dans le sens de la lecture, page -92- de gauche donc) des deux silences doublé de celui-ci, en italiques, page en vis-à vis :
cette page est la copie conforme de celle qui se dessinait à ma naissance / oscillation / en nous-même, d’immense ampleur / rien qu’en nous-meme / tant et tant d’écart / de nous-même à nous-même / est impossible/ un balancement de moindre amplitude / et l’immobile aussi donne sa mesure // la somme sexuelle/de toute mort / s’annonce / sûre d’elle
et je suis rêverie double exposure de tina kazakishvili :
tes photos tina en oscille transparence rien qu'elles jusqu'en toi-même / tant de lointaines au proche de nous / les bois les chairs la rivière et la mer en ville et en feuillage la vie et le trépas des hirondelles / ou des mouettes / nos rêves en visite de pierre et jonquilles / nos amours noyées dans leurs yeux que tu fixes / les bouches aux rinceaux des balcons / les murs muets au fond de mon corps dans tes yeux les femmes brunes / boucle là ses boucles boucles au pigment de ta peau / ton parfum dans leurs fleurs de regard tourne c'est nous / arcades par-dessus des toits sourcillent une inquiétude / le monde s'expose
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